Ils sont de retour !

Après avoir fait le tour du monde avec Son dernier coup d’archet, SH et Trévor, célèbre duo forain interprète des aventures de Sherlock Holmes, revient plus fort et plus drôle avec Le Chienchien des Babaskerville. La libre adaptation de l’aventure la plus terrifiante du mythique détective mettra une fois de plus l’intelligence collective à profit : les spectateurs qui parviendront à ne pas mourir de trouille seront partie prenante et mèneront l’enquête de Londres à la lande de Dartmoor, sur les traces de l’horrible bête.

Le Chienchien des Babaskerville est un boniment forain d’aventure qui se situe quelque part entre le Grand Guignol et le Guignol tout court.

Ce qu’en dit « Scènes de Rue », à Mulhouse :

« La compagnie La Rouille est un Nautilus poétique de la street propulsé à la vapeur de barbe à papa et au gaz de réverbères, avec à sa barre deux capitaines un brin fêlés : l’inégalable Nicolas Turon et son acolyte Fabrice Bez. Entre récits déjantés et mondes parallèles rétrofuturistes, ce fantastique duo ravive l’imaginaire du siècle dernier à coups de créations foutraques, sublimes et scéniques hantées par les esprits de Jules Verne et Georges Méliès. Du pur théâtre de rue ! »

Ce qu’en dit Marion, spectatrice :

« Un très grand merci pour le spectacle que vous nous avez offert ce soir à St Martin. J’ai tellement ri!
Merci à Fabrice qui joue hyper bien la Peur et du synthé, merci à Gautier, souffre-douleur dans sa combi semi-moulax et merci à Nicolas, magnifique comédien et conteur.
J’ai adoré avec beaucoup d’admiration votre habileté (et votre talent) à choper le potentiel comique de la moindre situation. Votre humour fleurte souvent avec l’irrévérence sans jamais être irrespectueux et au fond toujours bienveillant et subtil (vous me faites penser à Sébastien Barrier et son personnage de Ronan Tablantec).
J’ai été aussi très touchée par l’écriture et la dramaturgie, vivantes et généreuses, à l’image du théâtre que j’aime et que j’aime partager.
J’espère que vous avez pris autant de plaisir à jouer ce soir que moi à rire et m’évader dans la lande de Dartmoor.
Un petite perle au milieu du Cantal. »